Publiée
November 18, 2019
Mots-clés
- enseignantes,
- laïques,
- francophones,
- Montréal,
- XIXe -XXe siècles,
- institutrices,
- maîtresses d’école
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Résumé
En 2006, nous publiions dans le périodique français Histoire de l’éducation, no 109, un article intitulé « Les premières enseignantes laïques au Québec. Le cas de Montréal, 1825-1835 ». Ces enseignantes, anglophones en majorité, tenaient de petites écoles essentiellement privées dans lesquelles était instruite une importante composante de la jeunesse montréalaise. S’inspirant du modèle implanté par ces récentes immigrantes britanniques, des maîtresses laïques francophones ont suivi cet exemple. Elles vont peu à peu s’approprier ce modèle d’institutrices indépendantes et aussi le poursuivre au XIXe et même au XXe siècles. Elles ont ainsi participé par leurs écoles, souvent petites, à l’éducation d’une frange significative de la jeunesse notamment au XIXe siècle, et ce, en dépit de l’implantation de la Commission catholique de Montréal en 1846. Aussi nous a-t-il semblé pertinent de nous attarder dans ce texte à l’apport éducationnel de ces enseignantes et ce, plus particulièrement, à celui des années 1869-1915.
ERRATA
Dans le numéro d’automne 2019 (vol 31, no 2), des erreurs relatives aux notes de bas de pages se sont glissées. Veuillez donc noter les modifications suivantes. Ces erreurs ont été corrigées dans la version disponible en ligne de laRevue d’histoire de l’éducation.
-À la page 85, à la fin de la citation de la ligne 6 du paragraphe débutant à la mi-page, on doit trouver la note suivante : ACECM, Registre des délibérations, vol. 4 (10 décembre 1895, 14 et 28 janvier 1896).
-À la page 86, à la fin de la citation de la 4eligne, 3eparagraphe, on doit trouver la note suivante : ACECM, Rapport financier de la Commission des écoles catholiques de Montréal, 1910–1911, 4–5.
Merci de votre compréhension.