Fall / automne 2017
Articles

Neo-liberalism and Institutionalism in the Short Life of TechBC

Holly Hendrigan
Simon Fraser University
Bio
Published October 31, 2017
Keywords
  • Technical University of British Columbia,
  • Higher education and state--British Columbia,
  • Neoliberalism,
  • Institutional theory
How to Cite
Hendrigan, Holly. 2017. “Neo-Liberalism and Institutionalism in the Short Life of TechBC”. Historical Studies in Education / Revue d’histoire De l’éducation 29 (2). https://doi.org/10.32316/hse/rhe.v29i2.4514.

Abstract

The Technical University of British Columbia (1999–2002) has received scant attention in the scholarly literature since it was folded into Simon Fraser University and became SFU’s Surrey branch campus. This article uses neo-liberal and institutional theory to understand the university’s economic mandate and the motivations of the staff and faculty who worked there. TechBC’s legislation and oral history interviews reveal neo-liberal influence in its purpose as an economic driver of the province, academic programs intended to satisfy the high-technology labour market, willingness to collaborate with industry, corporate governance structure, and reduced government funding support. TechBC employees were drawn to working at a start-up university, building an interdisciplinary curriculum, and employing new online teaching and learning methods. TechBC’s institutional logic of non-conformity and its aspirations to transform the university experience accounts for its community’s positive memories of the short-lived university.

Résumé

L’Université technique de Colombie-Britannique (1999-2002) a reçu peu d’attention dans la littérature académique depuis son incorporation à l’Université Simon Fraser où elle est devenue le Campus Surrey. Cet article utilise la théorie néolibérale et institutionnelle pour comprendre le mandat économique de l’université ainsi que les motivations du personnel et des professeurs qui y ont travaillé. Les statuts de TechBC et les entrevues en histoire orale révèlent une influence néolibérale dans sa mission comme moteur économique de la province, dans les programmes universitaires destinés à satisfaire le marché du travail de haute technologie, dans la volonté de collaborer avec l’industrie, ainsi que dans la structure de gouvernance corporative et le soutien financier limité du gouvernement. Les employés de TechBC ont été incités à travailler dans une nouvelle université, à développer un programme d’études interdisciplinaire et à utiliser de nouvelles méthodes d’enseignement et d’apprentissage en ligne. La logique institutionnelle de non-conformité de TechBC et ses aspirations à transformer l’expérience universitaire expliquent le souvenir positif de sa communauté envers l’université éphémère.